Dans les actes judiciaires, les polices d’assurances, les actes notariés, et généralement les rédactions dans lesquelles aucune abréviation n’est permise, ces expressions s’expriment au long[1].
34. a) Dans les ouvrages divisés en livres, chapitres, sections, il n’est pas d’usage, pour les titres en lignes perdues, d’abréger les expressions premier, première[2] :
mais bien d’écrire en toutes lettres :
ou encore, mais plus rarement toutefois :
par analogie avec la manière habituelle de composer les divisions suivantes :
b) L’emploi des expressions première partie, deuxième partie, étant préférable, par raison d’euphonie, aux termes
l’adjectif numéral ordinal se compose en toutes lettres :
c) Lorsque les mots :
sont placés au milieu de la justification en lignes perdues ou au début d’un alinéa, on les compose en toutes lettres ; pour les articles suivants, le nombre est exprimé avec un chiffre arabe, sans supérieure abréviative, et le mot article est abrégé :