que celui qui suit l’action, est repoussé vers la fin de la justification et se place après le vers :
Cela marchait si bien… l’étude !… Quel dommage !
Alors, si le vers occupe la totalité de la justification, ou s’il ne reste en fin de ligne qu’un blanc minime, le jeu de scène ou aparté se ramène vers la gauche de 1 cadratin à partir de la fin du vers.
Au contraire, un blanc convenable restant en fin de justification après le dernier mot du vers, le jeu de scène est sorti après ce dernier mot, vers la droite, de 1, 2 ou 3 cadratins, selon les cas et suivant sa longueur.
185. Si les vers sont coupés en plusieurs fragments par les noms d’interlocuteurs, le jeu de scène éventuel qui accompagne un fragment est composé en débordant légèrement, suivant sa longueur, vers la droite, et jamais repoussé à l’extrémité de la justification :
Oui, mais…
Qu’est-ce encore ?…
On dit : « Mon prochain», ou : « Mon frère »,
De certains hommes ; …
186. Le jeu de scène trop long pour tenir dans une ligne se repousse légèrement vers la droite, la deuxième ligne se justifiant au milieu de la première, et la première débordant d’au moins 1 cadratin sur la seconde :
Sur ce, mes chers amis, recevez mes adieux !…
en toute hâte vers le château.)
187. S’il exige plus de deux lignes, l’aparté se compose en sommaire :
Où courez-vous ainsi, tout pâle et hors d’haleine ?
188. Le jeu de scène prend, à l’intérieur des parenthèses, la ponctuation commandée par le sens de sa phrase.