s’agisse de vers ou de prose, on suit les règles ordinaires de composition »[1].
9, L’épigraphe constituée par une citation prend le guillemet initial et le guillemet final :
est un squelette. »
À l’encontre de cette opinion, Daupeley-Gouverneur, sans distinguer, toutefois, écrit : « On ne la guillemette pas… »
Par contre, Th. Lefevre et E. Leclerc conseillent le guillemet à chaque ligne de l’épigraphe,
« lorsque celle-ci forme une citation en français ».
Une contradiction ressort d’ailleurs des indications données sur ce point par ces deux auteurs qui exigent le guillemet à chaque ligne d’une épigraphe constituant une citation en prose et omettent le guillemet à une épigraphe citation en vers[2].
10. « Si l’épigraphe renferme deux parties dont l’une est citation à l’égard de l’autre », cette citation doit être guillemetée au long :
On voit, par cette règle et cet exemple, qu’en « guillemettant à chaque ligne l’épigraphe en prose constituant une citation », suivant l’opinion de Th. Lefevre et de Leclerc, le lecteur peut, en certaines circonstances, ne point distinguer aisément l’une de l’autre les deux citations.
11. Le nom de l’auteur de l’épigraphe, lorsqu’il est exprimé, se compose en petites capitales avec une grande capitale initiale.
Il est repoussé vers la droite, ou mieux vers la fin de la ligne, sur laquelle il est rentré de 3 ou 4 cadratins, suivant la longueur de la
justification.
De manière générale, cette signature se compose avec le même caractère que l’épigraphe elle-même.
12. Le titre du volume qui dans une épigraphe accompagne, éventuellement, le nom de l’auteur, se compose en italique, d’après les règles ordinaires.
Selon la longueur de la signature, on diminue la rentrée sur la fin