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Page:Brossard - Correcteur typographe, 1934.djvu/838

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même les sous-titres de quelque importance, chapitre, section, etc., se placent au milieu de la justification totale ; on ne compose sur la justification partielle dans la colonne où ils sont appelés que les titres accessoires de paragraphes, d’alinéas, d’articles, etc.

7. L’expression à suivre indique que la rédaction d’un texte reste inachevée et sera continuée ultérieurement.
xxxx Ce terme s’emploie après le texte, où le récit s’arrête.

8. Les mots à suivre se composent en italique et entre parenthèses, généralement en ligne isolée, et à 3 ou 4 cadratins de la fin de la justification, ou plus, suivant la longueur de la ligne :

— Et qui est cet « ami inconnu » qui nous prévient ?
demande Roger.
xxxx — Pourquoi s’adresse-t-il à moi ? s’étonna Josette.
xxxx Autant de questions qui, pour le moment, demeuraient
sans réponse.

(À suivre.)

9. Si l’article est signé, c’est-à-dire si le nom de l’auteur figure après le texte, les mots à suivre sont reportés vers le début de la justification et renfoncés vers la droite de 3 ou 4 cadratins, ou plus, suivant la longueur de la ligne :

— Et qui est cet « ami inconnu » qui nous prévient ?
demande Roger.
xxxx — Pourquoi s’adresse-t-il à moi ? s’étonna Josette.
xxxx Autant de questions qui, pour le moment, demeuraient
sans réponse.

(À suivre.)
N. Sevestre.

Suivant les auteurs et aussi les usages des maisons, l’expression à suivre est parfois composée dans la même ligne que le nom de l’auteur de l’article :

— Et qui est cet « ami inconnu » qui nous prévient ?
demande Roger.
xxxx — Pourquoi s’adresse-t-il à moi ? s’étonna Josette.
xxxx Autant de questions qui, pour le moment, demeuraient
sans réponse.

xxxxxxxx(À suivre.) N. Sevestre.