Il est indispensable de ne pas utiliser, au lieu de l’exposant zéro (0), la lettre bas de casse o italique.
17. Le chiffre qui suit la lettre a doit être un chiffre supérieur, c’est-à-dire un chiffre écrit au haut, à l’alignement supérieur de l’œil des lettres longues et en caractère plus petit que ces lettres ; dans la composition
il se colle aux lettres qu’il accompagne.
Comme le chiffre supérieur indique ou, mieux, expose aux yeux la puissance de la valeur représentée par la lettre, il est appelé exposant.
Au lieu d’un chiffre, l’exposant peut être une lettre, généralement n, qui représente la plus haute puissance de la valeur, ou encore m, p, q, r.
Ces lettres se composent en italique et occupent la place du chiffre ; elles sont de corps ou d’œil analogues à ceux des chiffres employés comme
exposants :
Les exposants sont parfois des valeurs ou des nombres fractionnaires :
L’exposant dénominateur est un chiffre supérieur analogue aux autres exposants et collé à la lettre ; le filet et l’exposant numérateur sont parangonnés au-delà du corps des lettres a et b ; comme dans les autres cas, le filet indiquant la fraction ne doit pas déborder au-delà de l’œil de l’exposant le plus large.
18. Le signe : placé entre deux lettres indique la division :
signifie que a (dividende) doit être divisé par b (diviseur).
Le signe : est appelé divisé par.
Ce signe prend avant et après lui une espace forte analogue à celle qui sépare chacun des mots de la ligne où il se trouve.
Pour éviter que le signe de division ne soit confondu avec le deux-points ordinaire ( : ), le divisé par est d’un œil plus accentué, se rapprochant d’un deux-points de caractère gras.
19. Outre le deux-points, l’opération de la division algébrique peut