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Page:Bruchesi - Coups d'ailes, 1922.djvu/71

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Jusqu’au bout


La lutte sera dure
Pour toi, mon pauvre gâs.
Sur la route peu sûre
Ne t’aventure pas.

— Je ne crains point l’orage,
Ô mère, c’est si beau,
Quand on a du courage,
Et la foi pour flambeau !