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Page:Cabanis - Rapports du physique et du moral de l’homme, 1805, tome 2.djvu/717

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de sa mère, 118. — Suite de l’histoire physiologique des sensations, 162. — L’énergie et la persistance des mouvemens se proportionnent à la force et à la durée des sensations, 198. — À mesure qu’elles diminuent, ou deviennent plus obscures, on voit souvent les forces musculaires augmenter en énergie, 203. — Remarque qui peut mener à des notions plus exactes sur les sensations, et sur les traces qu’elles laissent dans l’organe sensitif, 231. — Les sensations nécessaires pour être, le sont à différens degrés, 235. — Les sensations ont peu de vivacité chez les sujets phlegmatiques ; ce qui en résulte, 459. — La vie individuelle est dans les sensations, 475. — L’absence d’un certain ordre de sensations produit celle des idées relatives aux choses que ces sensations retracent, 526. — S’il y a sensibilité sans sensation, II, 338, note. — Comment les sensations, proprement dites, peuvent être altérées, 440.

Sens externes. Voyez Organes des sens.

Sensibilité. Celle physique : ce que c’est, I, 39. — C’est elle qui nous avertit de la présence des objets extérieurs, 40. — Différences dans la manière de sentir chez les hommes, 43. — Quels sont les principaux organes du sentiment, 64. — La sensibilité physique est la source de toutes les idées et de toutes les habitudes morales de l’homme, 85. — Preuve que la sensibilité subsiste et n’est pas anéantie à l’instant même de la mort, 87, 88. — Les nerfs, chez le plus grand nombre des animaux, et sur-tout chez l’homme, sont les organes propres de la sensibilité, 95. — Expérience à ce sujet, 96. — Vérités qui en résultent, 100. — Examen de la question, si le sentiment est totalement distinct du mouvement, 101. — Les phénomènes du plaisir et de la douleur sont essentiels à la sensibilité, 140. — Ses opérations se font en deux temps, 143. — Elle se comporte à la manière d’un fluide, 145. — Sur la réaction de l’organe sensitif, 147. — Quelle est la cause de la faculté de sentir ; quelle est sa nature ou son essence, 157, 158, note. — Maladies où l’on remarque certaines erreurs de la sensibilité, 169. — Trois sortes d’opérations de la sensibilité, 182. — Rapports directs entre la manière dont le sentiment se forme, et celle dont le mouvement se détermine, 193. — Ce qui résulte des rapports alternatifs des forces sensitives et des forces motrices, 194. — Exemples à ce sujet, 195. — L’état de l’organe cellulaire et celui de la fibre charnue, influent directement sur la sensibilité, 201, note. — Il est possible que des circonstances particulières déterminent