irrévocablement le degré d’énergie et le caractère de sensibilité dans un individu ; exemple, 417. — La sensibilité des parties est en raison directe de la tension des membranes, 435. Voyez la note 2 de la même page. — Sur les différens foyers de sensibilité dans le corps vivant, indépendamment du cerveau et de la moelle épiuière, 502. — Trois principaux foyers, savoir : la région phrénique, la région hypocondriaque, et les organes de la génération, 503. — Les opérations diverses, dont l’ensemble constitue l’exercice de la sensibilité, ne se rapportent pas uniquement au système nerveux, 504. — Sur les états nerveux caractérisés par l’excès de sensibilité, 513. — Affections nerveuses qui se caractérisent par un affaiblissement considérable de la faculté de sentir, 527. — Effets de la diminution de la sensibilité générale, 528. — Si l’influence des objets extérieurs et des substances qui s’appliquent journellement an corps de l’homme, peuvent ou ne peuvent pas en modifier la sensibilité, II, 175. — Ses premières déterminations, 316. — Propriétés qu’elle développe dans les corps, 317. — Analogie entre la sensibilité animale, l’instinct des plantes, les affinités électives, et la simple attraction gravitante, 324. — Opérations de la sensibilité chez les animaux vertébrés, 334. — Son caractère exclusif suivant quelques physiologistes, 335. — S’il, y a sensibilité sans sensation, 338, note. — C’est la sensibilité qui anime les organes, 489. — L’action de la sensibilité est soumise à l’empire des idées et des affections de l’âme, 496. — La sensibilité plus analogue de certaines parties, établit entr’elles des rapports particuliers ; exemples, 506. — Il peut survenir de grands changemens dans la sensibilité des organes ; leurs causes et leurs effets, 519. — L’augmentation de sensibilité d’un organe est souvent la suite de sa débililation, 520. — Il est des maladies qui hâtent ou préparent le développement de la sensibilité ; exemples, 534. — D’autres, au contraire, la débilitent et l’émoussent ; preuves, 536.
Sens interne. Quelle est la seule signification raisonnable qui puisse être attachée à ce mot, I, 231.
Sentiment. Voyez Sensibilité.
Serpens. Terreurs qu’ils inspirent, et animaux qui les dévorent, II, 406.
Sexes. De l’influence des sexes sur le caractère des idées et des affections morales, I, 315. — Sur les dispositions morales des enfans de l’un et de l’autre sexe, 318. — La différence physique et morale des sexes ne se prononce bien distinctement qu’à l’époque de la puberté, 320.
