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Page:Cahier - Quelque six mille proverbes, 1856.djvu/185

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  1. La poule du voisin nous paraît une oie.
  2. Un pourceau n’en blesse pas un autre.
  3. N’accepte aucun présent ; on te le redemanderait soit aux jours de noces, soit aux jours de fête.
  4. Servir un jeune prince, et panser un cheval fringant,
    Deux métiers compromettants.
  5. L’homme trop prudent finit par se blesser l’œil contre une poutre.
R
  1. Assieds-toi en haut, et regarde en bas.
  2. Tête coupée ne se raccommode pas,
    Repentir tardif ne répare pas.
  3. Une demande fait un mauvais visage ; un refus en fait deux.
  4. La fin ordinaire du renard, est la boutique du pelletier.
  5. Qu’est-ce qui peut amener un renard au marché ?
  6. Renard qui trotte, vaut mieux que lion qui dort.
  7. Le respect que tu veux obtenir, c’est toi qui en décideras.
  8. Si nous n’avons point de richesses, ayons de l’honneur.
  9. Un riche sans générosité, est un arbre sans fruits.
  10. Ne t’associe pas à plus riche que toi.