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Page:Cahier - Quelque six mille proverbes, 1856.djvu/253

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  1. Dios me dé siempre contienda
    Con quien me entienda
    .
    Dieu veuille que je n’aie jamais à disputer
    Qu’avec gens qui consentent à m’écouter !
  2. A quien no le basta espada y corazon,
    Ne le bastaran corazas y lanzon
    .
    À qui l’épée et le cœur ne suffisent point,
    Lance et cuirasse ne lui suffiront pas.
  3. Quien a todos cree, yerra ;
    Quien a ninguno, no acierta
    .
    Qui croit tout le monde, se trompe ; comme qui ne croit personne.
  4. Deve algo para Pascua, y hazerse te ha corta la cuaresma.
    Fais une dette payable à Pâques, et tu trouveras le carême court.
  5. Quien te cubre, te descubre.
    Il est telle défense, qui trahit.
  6. El que ha de dar cuenta de si y de otros,
    Es menester que conozca a si y a los otros
    .
    Qui doit rendre compte de soi et des autres, devrait connaître l’un et l’autre.
  7. El que a cuchillo mata, a cuchillo muere.
    Qui tue du couteau, meurt du couteau.
  8. Cria un cuervo, y sacar te ha el ojo.
    Élève un corbeau, il te mangera les yeux.
  9. Para la cuesta arriba, dame tu mulo ;
    Que para la cuesta abajo, yo me la subo
    .
    Prête-moi ta mule pour la montée,
    Je t’en tiendrai quitte pour la descente.