Aller au contenu

Page:Cailhava de l’Estandoux - L’égoïsme, 1777.djvu/114

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
94
L’ÉGOÏSME,

J’aimois le Chevalier, sans rien faire pour lui :
Je veux que par moi seule il soit libre aujourd’hui.
Qu’on connoisse mes feux, ou bien qu’on les ignore,
Peu m’importe, Marton, je sers ce que j’adore.
Tous les instans sont chers : viens, suis moi.

MARTON.

Tous les instans sont chers : viens, suis moi.Bon cela.
Le cœur en vain résiste, il faut en venir là.

Fin du quatriéme Acte.