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Page:Cailhava de l’Estandoux - L’égoïsme, 1777.djvu/69

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COMÉDIE

ACTE III.


Scène PREMIÈRE.

PHILEMON, ensuite DURAND.
PHILEMON.

Tout le monde se tait sur les biens de Constance :
Mauvais signe !… Je puis favoriser, je pense,
Les amours de mon frère. — Eh, mon Dieu, qu’avez-vous ?

DURAND, avec le plus grand trouble.

L’avez-vous vu ?

PHILEMON.

L’avez-vous vu ? Qui donc ?

DURAND.

L’avez-vous vu ? Qui donc ? Clermon. C’est fait de nous !
On le cherche par-tout de la part de son maître.

PHILEMON.

Qu’importe ?

DURAND.

Qu’importe ? Polidor vous a-t-il fait connoître ?…

PHILEMON.

Quoi ?