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Page:Cailhava de l’Estandoux - L’égoïsme, 1777.djvu/68

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L’ÉGOÏSME,

LE CHEVALIER, bas à Philemon.

Voici l’instant heureux de servir ma tendresse.

POLIDOR, embrassant encore ses neveux.

Venez, mes chers amis. — Ah, puissent vos enfans,
Vous rendre quelque jour le plaisir que je sens !

Fin du second Acte