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Page:Capelle - La Clé du caveau, 1811.djvu/11

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AVERTISSEMENT.


J’ai cru rendre un service essentiel aux amis de la chanson, et principalement aux amateurs éloignés de la capitale, ou qui ne sont point à la portée des spectacles, en rassemblant par ordre de timbres, et dans un seul recueil, ces airs que l’usage ou le goût ont consacrés, dont notre oreille se trouve involontairement frappée après les avoir entendus, mais que l’on ne retient qu’avec peine et très-imparfaitement sans le secours de la musique.

On entend par le mot timbre, la désignation d’un air quelconque, en citant le premier vers de la chanson ou du couplet qui lui a donné lieu.

Dans la Table indicative des airs que ce Recueil renferme, je ne me suis pas toujours assujetti à cette règle de citer comme