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Mad. de Valeri.
Oui.
Mad. de Sourdeil.
Eh bien, pourquoi ne lui pas donner sa liberté ?
Mad. de Valeri.
Pourquoi ? Cela est singulier ! je n’y avois pas encore pensé. J’ai envie de ne plus m’en mêler.
Mad. de Sourdeil.
Ce n’est plus votre affaire ; il faut vous reposer, songer à votre santé.
Mad. de Valeri.
Oui, oui, & puis toute cette jeunesse-là ne me va pas, ce sera un prétexte : je le dirai à mon fils.
Mad. de Sourdeil.
Il faut vivre pour soi.
Mad. de Valeri.
J’ai envie de leur conseiller de prendre leur maison.
Mad. de Sourdeil.
Sont-ils assez riches pour cela ?