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Page:Carmontelle - Les Femmes, tome II.djvu/166

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LES FEMMES

— Certainement ; parce que tout cela tient plus du ton bourgeois ou provincial que de la fausseté.

— Rien ne m’a jamais autant déplu ; je croyais avoir le lendemain des nouvelles de madame de Cressor, sur mon départ précipité, mais je n’en reçus pas un mot. Ayant appris que son mari avait obtenu le gouvernement qu’il désirait, je passai chez eux pour m’y faire écrire, et l’on me dit qu’ils étaient tous deux partis, dès le matin, pour leur province. »