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Page:Carmontelle - Les Femmes, tome II.djvu/222

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LES FEMMES

troubler, je ne suis point jalouse et je vais vous le prouver, écoutez-moi : Lorsque vous ne vous doutiez pas que je pusse vous aimer, ma belle-sœur avait pénétré mes sentimens pour vous, parce qu’elle avait les mêmes que moi.