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M. Pécorier.
Il faut m’écouter avant de parler, tu verras par ce moyen que pça, pça, pça, enfin tu te porteras à merveilles, & voilà ce que je veux d’abord.
Agathe.
Mais je me porte fort bien.
M. Pécorier.
Oh que non, & le Compère le Cocq, s’en est bien apperçu aussi, & à force de dire ensemble pça, pça, pça, pça, voilà qu’est bien nous sommes convenus de tout enfin.
Agathe.
Et de quoi donc ?
M. Pécorier.
C’est que la femme de Jean Alegrain va accoucher, je crois que je suis brouillé avec Monsieur Houblon, le Compère le Cocq n’en savoit rien & pour cela pça, pça, pça, pça, cela sera arrangé tout de suite, mais il ne faut pas en parler.
Agathe.
Et de quoi donc ?
M. Pécorier.
De ce que je viens de te dire ; parce que