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Page:Carmontelle - Théâtre de campagne, tome II.djvu/316

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pça, pça, pça, le Compère le Cocq ne voudroit peut-être pas qu’on le sçût encore.

Agathe.

Vous ne m’avez rien dit.

M. Pécorier.

Oh que si, tu m’entends bien ; parce que pça, pça, pça, c’est clair, il faut que cela réussisse. Oh, il a bien de l’esprit.

Agathe.

Qui ?

M. Pécorier.

Ton Parrain le Cocq ; mais voilà Dame Françoise, entrons chez nous, je ne veux pas pça, pça, pça, qu’elle nous entende.

Agathe.

Ah, je ne me soucie pas d’en entendre davantage.

M. Pécorier.

Tu es bien maligne. Allons, passe devant.