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Page:Carmontelle - Théâtre de campagne, tome II.djvu/349

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M. Pécorier.

Moi, je craignois que, pça, pça, pça, la bière, vous savez bien, enfin je suis charmé que tout cela se fasse.

M. Houblon.

Il faut faire les affaires l’une après l’autre ; finissons celle-ci, demain nous ferons le contrat, & la noce ira tout de suite après.

M. Le Cocq.

Vous avez raison.

Delrode.

Ah ! mon Oncle, combien vous me rendez heureux !

M. Houblon.

Tu ne veux donc plus te faire Abbé ?

Delrode.

Oh ! pour cela, non.

M. Houblon.

Ni t’en aller à Lille ?

M. Le Cocq.

Il vouloit s’en aller ?