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Page:Carmontelle - Théâtre de campagne, tome III.djvu/107

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M. de Lépargnau.

Ma maison ?

Le Chevalier.

Et non, ce tableau-là.

M. de Lépargnau.

Quoi ! vous avez envie de ce tableau-là ?

Le Chevalier.

Eh, parbleu, je ne vous parle pas d’autre chose depuis une heure.

M. de Lépargnau.

Je croyois…

Le Chevalier.

Je vous dis que si vous voulez me le vendre, je vous le paierai sur le champ.

M. de Lépargnau.

Monsieur, il est un peu cher.

Le Chevalier.

Mais cent louis, deux cens louis, je regarde cela comme de la boue, en comparaison d’un morceau pareil.

M. de Lépargnau.

Vous en donneriez deux cens louis ?

Le Chevalier.

Oui, Monsieur, tout-à-l’heure ; les vou-