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Page:Carmontelle - Théâtre de campagne, tome III.djvu/108

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lez-vous ? Je vais les chercher, vous y pouvez compter.

M. de Lépargnau.

Monsieur, je ne saurois vous répondre sur le champ ; mais vous me donnez votre parole ?

Le Chevalier.

Je vous dis que vous y pouvez compter, je voudrois être aussi sûr d’avoir ce morceau-là ; non, je n’ai jamais rien vu de plus beau !

M. de Lépargnau.

Et la maison ?

Le Chevalier.

Nous en parlerons une autre fois. Ce tableau me tourne la tête ; je vous en prie ne me faites pas languir.

M. de Lépargnau.

Soyez sûr…

Le Chevalier.

Adieu, Monsieur de Lépargnau. Ici à côté on me trouvera toujours, j’attends votre réponse avec impatience. Mon Dieu, la belle chose ! mon dieu, la belle chose !