Aller au contenu

Page:Carmontelle - Théâtre de campagne, tome III.djvu/126

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

M. Guérisseau.

Non, mais il n’en sauroit revenir.

Saint-Jean.

C’étoit donc une maladie dangereuse ?

M. Guérisseau.

Point du tout, mais on l’a échauffé, au lieu de le rafraîchir.

Saint-Jean.

Cela n’arrive-t-il pas tous les jours, qu’on se trompe ?

M. Guérisseau.

Quelquefois au moins. Donnez-moi ma robe-de-chambre.

Saint-Jean.

Mais, Monsieur, on vous attend dans beaucoup d’endroits.

M. Guérisseau.

Donnez toujours. Il met sa robe-de-chambre.

Saint-Jean.

On vous attend chez Madame la Comtesse de Plombeuil.

M. Guérisseau.

Qu’est-ce qu’elle a ?