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Page:Carmontelle - Théâtre de campagne, tome III.djvu/253

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M. Martin.

Tu auras beau pleurer, cela sera ; oui, je l’ai mis dans ma tête, ma Fille épousera Clément.

Mde Martin, avec joie.

Quoi ! tout de bon ?

M. Martin.

Oui, oui , fais semblant de rire, tu n’en as pas d’envie.

Mde Martin.

Mais il faut savoir si votre Fille y consentira.

M. Martin.

Oh, ne crois pas l’empêcher, tu ne la préviendras pas ; car je vais lui parler devant toi. Tiens-toi-là. Genevieve.