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Page:Carmontelle - Théâtre de campagne, tome III.djvu/284

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M. de Sourval.

Je ne vous en fais pas non plus, je cherche à pénétrer…

Mlle de Leurville.

Voilà ce que je ne veux pas.

M. de Sourval.

Je respecte votre volonté.

Mlle de Leurville.

Vous voulez m’épouser, j’y consens ; je voudrois même que ce fût déjà une chose faite. De quoi pouvez-vous vous plaindre ?

M. de Sourval.

Je ne me plains pas, Mademoiselle.

Mlle de Leurville.

À la bonne heure.

M. de Sourval.

Mais, je crains…

Mlle de Leurville.

Dites donc ?

M. de Sourval.

Que votre santé ne soit altérée.

Mlle de Leurville.

Et par où jugez-vous cela ?