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Page:Carmontelle - Théâtre de campagne, tome III.djvu/295

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Le Chevalier.

Oh, ciel ! La secourant.

M. de Prévieux.

Mais que lui avez-vous donc fait ?

M. de Sourval.

Rien, Monsieur ; mais dès tantôt j’ai bien vu qu’elle n’avoit plus sa tête.

M. de Prévieux.

Comment ?

M. de Sourval.

Rien n’est plus vrai.

M. de Prévieux.

Expliquez-vous ?

M. de Sourval.

Vous devez m’entendre, Monsieur.

M. de Prévieux.

Je ne sais ce que vous voulez dire.

M. de Sourval.

Je veux dire, Monsieur, que vous vouliez me faire épouser une folle, & que cela est très-mal fait à vous.

M. de Prévieux.

Monsieur de Sourval ?