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Page:Carmontelle - Théâtre de campagne, tome III.djvu/355

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M. Rondeau.

Tout ce que vous voudrez, je suis bien sûr de ne pas me dédire ; écrivez, écrivez. Isabelle-Charlotte Rondeau.

M. Bourval.

Allons. Il écrit.

M. Bourval, Fils.

Je ne saurois vous remercier assez de toutes les obligations que je vous ai.

M. Rondeau.

Je savois bien que je lui ferois faire ce qui convient. Cela est-il fait ?

M. Bourval.

Oui. Vous n’avez qu’à signer.

M. Rondeau.

Allons, ma Fille, mon Gendre. Ils signent tous.

M. Bourval, Fils.

À présent, Monsieur, que vous ne pouvez pas vous en dédire, quoique je ne sois pas bossu, je crois que vous n’aurez pas lieu de vous plaindre de moi. Il déboutonne sa Soutane, & il paroît droit.