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Page:Carmontelle - Théâtre de campagne, tome III.djvu/384

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trouve point pour bon que sur le liberté Angloise on parle, voye-vous.

M. de Prétendsiere.

C’est une plaisanterie qui ne doit pas vous offenser.

M. d’Amabert.

Il doit pas ?

M. de Prétendsiere.

Non, vraiment.

M. d’Amabert.

Eh bien, il fait autrement qu’il doit, voye-vous. Je dis comme cela. Voilà mon plaisanterie. Je viens pour voir après avec le souper, si vous il dira. Madame, Messieurs, je suis encore par le Ville un moment, & puis je retourne après. Il sort.