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Page:Carmontelle - Théâtre de campagne, tome III.djvu/383

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M. de Garanci.

Oui, Milord, il ne faut pas croire que tous les François ayent les défauts dont quelques-uns se vantent.

M. d’Amabert.

Je suis pas pour dire aussi, & je suis fort charmé de voir.

Mde de Roiseville.

Milord nous fera-t-il l’honneur de souper avec nous ?

M. d’Amabert.

Madame, j’ai un petit affaire que je dois aller à cette moment.

Mde de Roiseville.

Oui ; mais après vous pourrez revenir ?

M. d’Amabert.

Dites-moi, je vous prie, cette Monsieur, s’il sera aussi ?

M. de Prétendsiere.

Pourquoi, Milord ?

M. d’Amabert.

C’est que je reste alors avec mon affaire. Je