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Page:Carmontelle - Théâtre de campagne, tome III.djvu/62

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Julie.

Point trop mal. Attendez que j’arrange ceci. Elle raccommode quelque chose à son ajustement.

Le Chevalier.

Je ne conçois pas comment votre Oncle ne me reconnoît pas.

Julie.

Bon ! un Vieillard est toujours entêté de son opinion. Ils reviennent, songez à vous.


Scène XIII.

Mlle DE RÉMIERES, LE CHEVALIER, M. DE PONBLEU, JULIE, LAHAYE.
M. de Ponbleu, voulant se jetter aux genoux du Chevalier.

C’est à vos pieds, Mademoiselle, que je dois rendre hommage à tant de charmes. L’Amour & le respect qu’ils m’inspirent, sont bien au-dessus de tout ce que ma Niéce aura pu vous dire ; car il faudroit qu’elle pût vous ai mer autant que je vous aime, pour pouvoir