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Page:Caroline et Saint Hilaire, ou Les putains du Palais-Royal, 1830.djvu/24

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sans doute d’occuper une place parmi les femmes que je viens de citer, parce que toutes les femmes sont ses modèles, et il est bien à présumer qu’après avoir fait de si grands progrès et tant de choses si différentes pour augmenter ses propres connaissances, elle consacrera enfin à l’instruction publique et au bonheur commun le reste d’une vie, pendant laquelle elle peut acquérir une gloire plus universelle et voler à l’immortalité.