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Page:Chancennes - Esclave amoureuse, 1957.djvu/110

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ESCLAVE AMOUREUSE

— Venez ici.

Olga se leva et se dirigea vers la table de sa maîtresse.

Celle-ci la saisit par le bras et l’attira vers elle.

— Vous êtes entêtée et insolente, Olga, vous méritez qu’on vous fasse honte.

Ce disant elle éleva la petite fille au-dessus de la table et la maintenant contre elle, le visage tourné vers le mur, elle releva ses petites jupes et la dépantalonna à demi, juste assez pour découvrir les deux petites fesses.

À ce spectacle toutes les élèves éclatèrent de rire, battant des mains.

Lucette malgré les cris d’Olga, la fessa, sans violence, mais assez longtemps pour que l’indisciplinée trouvât le châtiment détestable.

Elle se débattait tant qu’elle pouvait, mais Lucette la tenait bien.

— Je… ne… le… ferai… plus… sanglottait l’enfant.

— Par… don… ma… de… moi… selle…

Devant ce repentir, Lucette s’arrêta et rabattit les petites jupes d’Olga. La tête basse, elle regagna sa place, cette petite fille qui… maintenant ne riait plus.

Parmi les corrections que les maîtresses de classe infligent à leurs jeunes élèves, la fessade est la plus répandue.