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Page:Choiseul-Meuse - Julie, ou J’ai sauvé ma rose, 1807.djvu/268

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JULIE,

ou
J’AI SAUVÉ MA ROSE.
[Tome second]



« La mère en défendra la lecture
à sa fille. »



J’écrivis à Céline l’histoire de Mélanie. Je lui dis que l’amitié avait sans doute voulu me dédommager de l’abandon dans lequel me laissait la femme que j’aimais le mieux, en m’envoyant une nouvelle amie. Céline, qui savait profiter des moindres incidens, me répondit qu’elle s’apprêtait à partir au moment où elle avait reçu ma lettre ; mais que, sa place