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Page:Cicéron - Œuvres complètes, Lefèvre, 1821, tome 28.djvu/532

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NOTES SUR
LA CONSOLATION.


(1). Théophraste, Xénocrate et Crantor, trois philosophes, dont les deux premiers avaient été disciples de Platon, et le troisième l’avait été du second.

(2). Panétius, philosophe stoïcien, contemporain et ami du second Africain, et dont la mémoire était encore toute récente à Rome du temps de Cicéron, qui le cite toujours avec éloge.

(3). Damoclès, flatteur de Denys le tyran.

Districtus ensis cui super impia
Cervice pendet, etc
.

(4). — Cette histoire ou ce conte est tiré du premier livre d’Hérodote. Il est aussi rapporté au premier livre des Tusculanes, c. 47, ainsi que celui de Trophonius et Agamède.

(5). Silène. Voyez la même fable, Tusculanes, I, 48.

(6). — Ce fait et les discours qui y ont rapport se trouvent tout au long dans Hérodote, Livre VII.

(7). Miltiade, Éphialte, Cimon, Thémistocle, Aristide, tous capitaines grecs, que Cornélius Népos fera connaître, excepté Éphialte, sur lequel on peut consulter Diodore de Sicile, XVII, 26.

(8). Scipion l’Africain. C’est le second de ce surnom, qu’il acquit pour avoir détruit Carthage. Il n’était que fils adoptif du fils du premier Scipion, qui l’avait mérité pour l’avoir soumise. Son père naturel était Paul Émile, et c’est de là qu’il s’appelait P. Cornelius Scipio Æmilianus.

(9). Cléomène, troisième du nom. Voyez sa Vie dans Plutarque.

(10). Théagène. C’est apparemment le nom de celui qui donna aux autres Numantius l’exemple du courage barbare qui les fit tous périr.

(11). La femme d’Asdrubal. Voyez Tite-Live, LI, 47.