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Page:Compère Mathieu - Les Pantins des boulevards, ou bordels de Thalie, 1791.djvu/114

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LES PANTINS

Vous, charmante coquine,
Quittez les étendards
De ce dieu dont la pine
Vaut celle du dieu Mars.
Écoutez ma censure,
Et sans façon
Renoncez à l’usure
De votre con.

Quand trop vive fouteuse,
Toujours le vit en main,
Ne peut se dire heureuse
Qu’en branlant un engin,
Son con, devenu large,
Trop fréquenté,
Est lent à la décharge,
Et rebuté.

En effet, quel délice
De foutre trop souvent ?
Le vit dans la matrice
Ne pompe que du vent ;