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Page:Compère Mathieu - Les Pantins des boulevards, ou bordels de Thalie, 1791.djvu/257

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DES BOULEVARDS

le compère mathieu.

Vous aviez tort l’un et l’autre : trop de sévérité mène à l’ingratitude ; mais c’est un vice affreux, et que je vous blâme de conserver ; mais comme ce n’est pas de cet article qu’il est maintenant question, je laisse à votre cœur le soin de vous inspirer, pour ne plus m’occuper de vos sens. Puisque Monrose consent que vous foutiez sa femme, puisque cette fouteuse le veut bien aussi, et puisque vous bandez toujours pour elle avec le même emportement, foutez-la donc, j’y consens ; mais, pour la foutre longtemps, il faut user de ménagements. Voici à cet égard quelles sont mes idées.

Non, foutre point trop il ne faut (bis),
Car par trop foutre est un défaut (bis) ;
Oui, lorsqu’un con, chaud comme braise,
Fait trop souvent l’emploi d’un vit,