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Page:Coote - Mémoires de Miss Coote, 1911.djvu/64

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elle, en s’asseyant sur le bord de son lit, avez-vous jamais vu une dame plus poilue que moi ? Vous savez, mon trésor, c’est le signe d’une nature passionnée.

Elle m’avait attirée sur elle, et, m’étreignant par les fesses, m’embrassait en plaquant ma nudité contre la sienne. « J’adore caresser les petits oiseaux sans plumes comme vous ; vous coucherez quelquefois avec moi ; Van Tromp sera heureuse de m’échanger pour Laura », ajouta-t-elle.

— Nous ne pouvons tolérer cela, crièrent deux ou trois des autres, en nous étreignant et en nous embrassant. Allons, mademoiselle, prenez votre verge et mettez-vous au milieu.

— Très bien, dit l’aimable française, mais il en cuira à celle que j’attraperai.

Nous recommençâmes alors notre jeu et, toutes les fois qu’elle réussissait une prise, elle nous cinglait vertement, dessinant sur nos derrières de longues marques rouges. Sous nos claques multiples, son propre derrière devait joliment lui cuire, mais le jeu semblait tant lui plaire et l’exciter qu’elle s’écria soudain : « Oh ! je veux avoir la verge, maintenant, qui va être la maîtresse d’école ?

Laura. — Ce sera Rosa ! Elle vous chapitrera comme si vous étiez coupable et nous donnera une idée d’une punition dans les règles. Voulez-vous Rosa ? Cela nous amusera tant ! Essayez et obligez mademoiselle à vous deman-