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Qu’assez malaisément je pourrai m’en parer.
Mais parlons de vos feux. Certes, cette maîtresse…
Scène VII.
DORANTE, CLITON, SABINE.
SABINE.
(Elle lui donne un billet[1].)
Lisez ceci, Monsieur.
DORANTE.
D’où vient-il ?
SABINE.
De Lucrèce.
DORANTE, après l’avoir lu[2].
Dis-lui que j’y viendrai.
(Sabine rentre, et Dorante continue.)
Doute encore, Cliton,
À laquelle des deux appartient ce beau nom.
Lucrèce sent sa part des feux qu’elle fait naître,
Et me veut cette nuit parler par sa fenêtre.
Dis encor que c’est l’autre, ou que tu n’est qu’un sot.
Qu’auroit l’autre à m’écrire, à qui je n’ai dit mot ?
CLITON.
Monsieur, pour ce sujet n’ayons point de querelle :
Cette nuit, à la voix, vous saurez si c’est elle.
DORANTE.
Sache subtilement sa famille et ses biens.