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Souvent, ſans que je la preſſe,
Elle ſoupe à la maiſon,
Et quand je rentre au ſalon,
J’y vois régner l’allégreſſe ;
Hé ! etc.
On me flatte, on me careſſe,
Hé ! etc.
![Correspondance d’Eulalie, séparateur](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/f/f6/Correspondance_d%E2%80%99Eulalie%2C_1785-s%C3%A9parateur-1-bas.jpg/30px-Correspondance_d%E2%80%99Eulalie%2C_1785-s%C3%A9parateur-1-bas.jpg)
C’eſt là que Madame rit ;
Et plus le cercle s’étrécit,
Plus Madame eſt adorable ;
Hé ! etc.
Chacun m’applaudit à table.
Hé ! etc.
![Correspondance d’Eulalie, séparateur](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/f/f6/Correspondance_d%E2%80%99Eulalie%2C_1785-s%C3%A9parateur-1-bas.jpg/30px-Correspondance_d%E2%80%99Eulalie%2C_1785-s%C3%A9parateur-1-bas.jpg)
Elle pétille d’eſprit ;
C’eſt toujours elle qui dit
Le bon mot que j’allois dire.
Hé ! etc.
Je la vois pâmer de rire.
Hé ! etc.
![Correspondance d’Eulalie, séparateur](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/f/f6/Correspondance_d%E2%80%99Eulalie%2C_1785-s%C3%A9parateur-1-bas.jpg/30px-Correspondance_d%E2%80%99Eulalie%2C_1785-s%C3%A9parateur-1-bas.jpg)