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Page:Correspondance d’Eulalie, 1785.djvu/304

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Loin de contenter mon envie,
C’eſt le plus ſot et froid garçon ;
Il mérite bien qu’on s’écrie :
Ah ! le cruchon, ah ! le cruchon.

Correspondance d’Eulalie, séparateur
Correspondance d’Eulalie, séparateur
Un jour, par une chanſonnette,

Je lui témoignai mes déſirs ;
Mille fois je la lui répete.
Avec les plus tendres ſoupirs.
C’étoient toutes peines frivoles,
L’air, dit-il, me ſemble aſſez bon,
Je ne comprends rien aux paroles :
Ah ! le etc.

Correspondance d’Eulalie, séparateur
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Sur une naiſſante verdure,

Avant le lever du ſoleil,
Goûtant la fraîcheur la plus pure,
J’affectois un tendre ſommeil ;
Ma gorge étoit à demi-nue,
Tout lui diſoit : il y fait bon ;
Il ne contenta que ſa vue.
Ah ! le etc.

Correspondance d’Eulalie, séparateur
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