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Page:Courouble - La Famille Kaekebrouck,1902.djvu/116

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FERDINAND MOSSELMAN

donné, Mme Verbist m’a prié de vous inviter à manger la soupe avec nous samedi prochain, sans façon, vous savez… Ma fille Emma a reçu tout un stock de nouvelles romances, surtout des duos, qu’elle voudrait bien déchiffrer avec vous. Affaire entendue, n’est-ce pas ? Adieu, mon ami !

Et M. Verbist, envoyant un bonjour de la main, se retira précipitamment.

— Nom d’un tonnerre ! jura Ferdinand en se laissant dégringoler de son échelle…