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Page:Courouble - La Famille Kaekebrouck,1902.djvu/250

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LA VENGEANCE DE Mme POSENAER

un moment encore pour discuter les derniers arrangements. On promit d’être prêts dans huit jours.

M. Rampelbergh, tout glorieux de se rendre à la mer, raconta alors qu’il avait rencontré l’après-midi un tas de connaissances, des gens tirant le diable par la queue, qui allaient pour la plupart aussi « prend’ des bains ». Et il appuyait sur ces derniers mots avec une ironie à la Swift.

Au fond, il était vexé de se découvrir tant d’imitateurs.

— Oui, c’est la mode maintenant, dit-il en ouvrant la porte de la rue. Ils vont tous « prend’ des bains » pour faire des embarras, et les souris, elles meurent dans leurs armoires !… Allo la bonne nuit !