Aller au contenu

Page:D. - Mémoires d’une danseuse russe, 1893.djvu/158

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 152 —

donna du plaisir en cachette, mais ne voulut rien accepter de moi. Je ne devais pas faire son affaire. J’avais à lui faire oublier une langue trop raffinée, qui lui parlait trop bien tous les jours.

J’avais treize ans et deux mois. C’était la première fois que je goûtais du plaisir par les sens.


Vignette typographique
Vignette typographique