Aller au contenu

Page:D. - Mémoires d’une danseuse russe, 1893.djvu/423

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 57 —

der la sévérité. Je ne sais quel démon me poussait, celui de la luxure sans doute, mais je fouettai ce beau postérieur avec une vigueur et un plaisir sans pareils. Le gigotement de ces belles fesses, le premier que je causais, m’alluma tellement, que je tapais sans compter, appliquant les lanières de cuir de plus en plus fort. Le maître devinant le feu que j’y gagnais ne m’arrêta que vers la cinquantaine. Marta avait les fesses écarlates. On employait le martinet de cuir pour ses fesses à cause de la finesse de sa peau.

L’intendant n’eut pas à se repentir de ne pas m’avoir arrêtée. Dès qu’il fut logé, je me mis à frétiller sous son ventre, et comme je ne cessais pas, il resta plongé dans la gaîne jusqu’à ce que le jet s’élança tout seul.

Pendant quinze jours il me fit monter de temps en temps après le bain, m’appliquait une bonne fessée, me prenait une fois, quelquefois deux. Puis il faisait monter une fille que je fessais sur ses genoux, m’amusant fort au gigotement de ces gros postérieurs que je fouettais toujours avec plaisir, et le jeu de la gaîne et des fesses recommençait, il jouissait appuyé sur mon derrière frétillant.