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Page:D. - Mémoires d’une danseuse russe, 1893.djvu/441

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ne faiblisse pas pendant les ébats nocturnes.

Je crois que mes aptitudes physiques avaient dû passer de bouche en bouche, car j’étais la plus demandée, surtout depuis que j’avais dix-huit ans. Pendant les trois dernières années de mon contrat, je ne reçus jamais le fouet sur mes fesses nues, pendant ou après la répétition, sans passer par les mains de quelque débauché.

Je fus même mandée un jour par un couple, mari et femme, qui me firent m’étendre sur le ventre. La dame s’étendit à cul nu sur mes fesses brûlantes, tandis que l’époux agenouillé entre mes cuisses, fourrageait le noble con de sa moitié. La croupe de la dame dansait sur la mienne à chaque coup de cul que donnait l’enfileur. Elle sentit mes fesses frétiller sous les siennes.

En se relevant, ils vinrent constater le phénomène, en y portant les doigts.

Le mari s’assit à cul nu sur mon postérieur. L’épouse enfourcha la monture, et chevaucha le plus allègrement du monde. Les fesses dures du monsieur s’enfonçaient dans les miennes, les élargissant à chaque descente de la cavalière. Mon frétillement