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YVAN
’ai cru qu’elles ne s’en iraient plus ces
deux vampires. Autant je désirais leur
venue pour les distractions que nous devions
prendre ensemble sur les postérieurs de mes
filles de chambre, autant j’ai souhaité vivement
leur départ. Elles l’auraient mis à sec,
si elles étaient restées huit jours de plus.
Enfin, elles sont parties, grâce au ciel.
J’ai mandé mon cocher Yvan ce matin dans ma chambre, après avoir congédié mes habilleuses, qui sur mon ordre m’avaient laissée en peignoir. Il entra, s’inclinant jusqu’à terre, comme il sied à un serf devant