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Page:D. - Mémoires d’une danseuse russe, 1893.djvu/494

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dans laquelle l’outil à plaisir se consacre tout entier à votre bonheur, que je veux l’utiliser souvent ainsi.

J’ai depuis quelques jours une fantaisie corsée, que j’hésite chaque matin à satisfaire. Je voudrais prendre ce gros engin dans mon derrière, pour savoir ce que l’on éprouve avec un bijou de ce calibre dans les fesses. Mais je crains qu’il me ne déchire en entrant. J’y pensais encore ce matin me demandant si je tenterais oui ou non l’épreuve aujourd’hui.

Mais au fait, il n’y a qu’à essayer sur Catya. S’il lui gâte les fesses eh ! bien tant pis pour ses fesses. Le beau malheur qu’une serve ait le cul abîmé pour une expérience que veut tenter sa maîtresse ! Elle a passée par là d’ailleurs ainsi que toutes ses compagnes, car nos invités ne se gênent guère pour les prendre par tous les bouts. Seulement elles n’ont pas dû en loger souvent de ce calibre.

Sitôt pensé sitôt exécuté. J’envoie quérir