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Page:D. - Mémoires d’une danseuse russe, 1893.djvu/495

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la fille de chambre et Yvan, qui entrèrent en même temps, s’inclinant tous deux à une distance respectueuse. La jeune fille semblait se demander pourquoi je les avais fait monter ensemble, le jeune serf et elle.

— Yvan, tu vas me trousser cette fille. Tu la mettras en travers de tes cuisses, et là, tu lui appliqueras sous mes yeux une bonne fessée, que tu ne cesseras que lorsque je t’arrêterai, et surtout ne la ménage pas.

Puis tu m’obéiras en tout point en faisant ensuite tout ce que je te commanderai sur ses fesses.

Yvan avait déjà troussé la fille dont le gros derrière émergeait en dehors de ses cuisses, bien en face de mes yeux. Au signal donné la main s’abattit avec force, s’imprimant sur la peau en rouge vif, chaque gifle amenait le sang à fleur de peau, faisant sauter la croupe sur les genoux.

Il la fessa ainsi pendant dix minutes, la peau en fumait, et la fille de chambre, qui supportait assez bien les verges que je lui appliquais cependant avec sévérité, se tordait et se lamentait sous les maîtresses