Aller au contenu

Page:D. - Mémoires d’une danseuse russe, 1893.djvu/497

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 131 —

mis au jour son gros outil. Jamais je ne l’avais vu dans un aussi brillant état, et je regrettai de ne pas avoir à m’en servir tout de suite.

Catya l’aide en effet, Yvan met la tête de l’outil sur l’orifice. À ma grande surprise, la tête entre assez facilement, se logeant dans les bords écartés. Puis il y pousse le reste, qui s’enfonce plus difficilement, élargissant de plus en plus les bords, se plongeant jusqu’au fond. Il ne restait dehors que ce qui ne pouvait pas franchir la porte.

Je fis signe à Yvan de sortir immédiatement du repaire. Il se retira peu à peu, et quand il fut sur les bords, je vis que l’ascension et la descente lui avaient suffi pour s’épancher. Heureusement qu’il y avait des serviettes préparées en prévision de l’événement.

— Essuie-toi, grande malpropre et emporte ces deux serviettes. Va prendre un bain, et reviens tout de suite me montrer tes fesses. Si elles ne sont pas propres, je te promets une danse complète au retour.

Je regrettais la perte qu’avait faite l’outil