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Page:D. - Mémoires d’une danseuse russe, 1893.djvu/496

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claques, que la forte et large main du serf lui détachait avec une vigueur redoutable.

Je lui montrai les cuisses, chaque claque meurtrissait la chair. Ce fut alors des hurlements de rage. Jamais fessée à la main ne me réjouit autant que ces gifles cinglantes, qui abîmaient ce fessier orgueilleux et les alentours. Je l’arrêtai après vingt minutes de ce traitement salutaire. La peau était fendillée en plusieurs endroits.

— Maintenant porte-la devant ce fauteuil, agenouille-la ainsi toute troussée. Toi, porte-toi devant ce gros cul fumant et plante-lui ton bel outil dans les fesses. Je ne serais pas fâchée de voir la jolie grimace qu’elle fera, quand elle l’aura tout entier dans son vaniteux derrière, bien qu’elle en ait logé d’autres, mais pas de ce volume.

Toi, la belle, si tu n’aides pas ton complice à entrer, tu dois savoir comment çà se pratique, c’est à moi que tu auras à faire, et les verges auront beau jeu à faire saigner ton vilain derrière déjà tout écorché par cette main de fer. Lamente-toi un peu moins, et aide-le un peu mieux.

Yvan, qui avait baissé sa culotte, avait